Conte: Les trois petits cochons
«Les
trois petits cochons», Leonard Leslie
Brooke
Conte
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Intonation/Voix
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Gestuelle
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Il
était une fois, trois petits cochons qui vivent avec leur maman dans une
petite maison.
Un
jour, la maman appelle ses trois fils et leur dit qu'elle ne peut plus les
élever
parce qu'elle est trop pauvre. Je veux que vous partiez d'ici et construisez votre maison, dit-elle, mais prenez garde qu'elle soit bien solide pour que le grand méchant loup ne puisse entrer et vous manger.
La maman embrasse
ses trois petits cochons et leur dit au revoir les larmes aux yeux.
Ils s'en vont de chez eux construire leurs maisons.
Le
premier petit cochon rencontre un homme portant une botte de paille. "Puis-je avoir un peu de
paille pour construire ma maison ?"
demande le petit cochon. Et l'homme lui donne de la paille. Le second petit cochon rencontre un homme qui porte un chargement de bois. "Puis-je avoir quelques bouts de bois pour construire ma maison?" demande le petit cochon. Et l'homme lui donne le bois. Le troisième petit cochon, lui, rencontre un homme chargé de briques. "S'il vous plaît, Monsieur", demande le troisième petit cochon, "Puis-je avoir quelques briques pour construire ma maison?" L'homme lui donne assez de briques pour bâtir une grande et solide maison avec une cheminée près de laquelle on peut s'asseoir. Les trois petits cochons rentrent joyeusement chez eux quand le loup les aperçoit. «Comme ils doivent être tendres! Lequel vais-je manger en premier? Je vais commencer par le petit cochon dans la maison de paille!»
Il frappe à la
porte.
«Petit cochon, gentil petit cochon, je peux entrer?» Non, Non! Par le poil de mon menton! Alors, je vais souffler et ta maison s'envolera!
Le loup gonfle
ses joues,
souffle, souffle de toutes ses forces, et la maison de paille s'envole.
Au secours!
crie le premier petit cochon en courant vers la maison de bois de son frère. A peine celui-ci a-t-il refermé la porte que le loup frappe. «Petits cochons, gentils petits cochons, je peux entrer?»
Non, non! Par le poil de nos mentons!
«Alors, je vais souffler, souffler, et votre maison s'envolera!»
Le loup se
gonfle les joues,
souffle, souffle de toutes ses forces, et la maison de bois s'envole. «Au secours!» crient les deux petits cochons en courant aussi vite que possible vers la maison de briques de leur frère.
«Ici, vous ne risquez rien! leur dit-il».
«Petits cochons, gentils petits cochons, je peux entrer?» «Non! Non! Par le poil de nos mentons!»
«Alors, vous allez voir, hurle le loup,
je vais souffler sur votre maison, et je vais la démolir!»
Il
prend alors sa plus profonde respiration et souffle comme un fou.
Mais cette fois-ci, il ne réussit pas à mettre la maison par terre. Il se cogne la tête contre les murs et se blesse. Puis il s'enfuit dans la forêt, hurlant de douleur. Cela rend le loup fou furieux. Il est si furieux qu'il en devient tout bleu.
"Il faut absolument que j'attrape ces cochons"
les petits cochons voient le loup arriver avec une grande échelle. «J'aurais dû y penser plus tôt!» dit-il en l'appuyant contre le mur de la maison pour atteindre la cheminée. Pendant ce temps, le troisième petit cochon, qui est très rusé, allume un grand feu dans la cheminée et y pose un chaudron rempli d'eau. Quand le loup descend dans la cheminée, il tombe tout droit dedans. Il pousse un hurlement qu'on entend à des kilomètres à la ronde et repart comme il est venu, par la cheminée. On n'entendit plus jamais parler de lui. |
Voix de la
maman
Voix du premier
petit cochon
Voix du
deuxième petit cochon
Voix du
deuxième petit cochon
Voix du loup
Voix du loup
Voix du premier
petit cochon
Voix du loup
Voix du premier
petit cochon
Voix du loup
Voix de
petit cochon (pour représenter celles des deux frères)
Voix du loup
Voix du troisième petit cochon
Voix du loup
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Geste avec le doigt
(l’index)
«attention»
Sortir de la paille de mon
sac
Sortir des bâtons de mon sac
Sortir des cailloux de mon
sac
Sortir le loup en peluche de
mon sac
Faire comme ci je toquais
à une porte (en l’imitant ou en toquant sur le banc)
Faire comme ci j’avais un
poil sur mon menton en le touchant
Mettre mes mains près de
ma bouche et souffler fort
Faire comme ci je toquais
à une porte (en l’imitant ou en toquant sur le banc)
Faire comme ci j’avais un
poil sur mon menton en le touchant
Mettre mes mains près de
ma bouche et souffler fort
Faire comme ci j’avais un
poil sur mon menton en le touchant
Prendre une profonde
inspiration
Sortir la casserole de mon sac
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